Francesca DEGO

Violoniste
  • Représentation: France

Biographie

Célébrée pour la richesse de sa sonorité, ses interprétations exigeantes et une technique éblouissante, Francesca Dego est une des violonistes de la jeune génération les plus demandées sur la scène internationale.

Artiste exclusive chez Chandos Records, son premier disque pour ce label a rendu hommage à Niccolo Paganini et son héritage avec des œuvres inspirées par le grand violoniste et qu’elle joue sur le violon du compositeur « il Cannone ». Le plus récent enregistrement comprend les concertos 3 et 4 de Mozart avec Sir Roger Norrington à la tête du Royal Scottish National Orchestra. Il a reçu les critiques les plus enthousiastes et a été nommé « Record of the month » dans le BBC Music Magazine.

Parmi ses enregistrements précédents chez Deutsche Grammophon on peut citer les concertos de Paganini et Ermanno Wolf-Ferrari avec le City of Birmingham Symphony Orchestre et Daniele Rustioni (2017) et un disque de récital intitulé « La Suite Italienne ».

Née à Lecco (Italie) de parents italien et américain, Francesca Dego se produit avec de grands orchestres et on peut citer parmi ses engagements les plus récents et ceux à venir : le BBC Symphony, le Philharmonia, le Hallé orchestra, Ulster Orchestra, le Royal Philharmonic, le Royal Scottish National Orchestra, le Gürzenich Orchestra Cologne, l’Indianapolis Symphony Orchestra, le NHK Symphony, le Tokyo Metropolitan, Tokyo Symphonic Orchestra, l’Orchestre Philharmonique de Nice, l’Orchestre de Chambre de Lausanne, Teatro Regio de Torino, l’Orquesta de Sevilla et celui de la Comunidat Valenciana, l’Auckland Philharmonia, Las Vegas Phiharmonic, le Santa Barbara Symphonic, le Het Gelders Orkest et Orkest van het Oosten.

En 2022/23, Francesca Dego fait ses débuts avec l’Orchestre des Champs Elysées dirigé par Philippe Herreweghe (Mendelssohn), donne des concerts avec l’Orquesta Sinfonica de Castilla y Leon (Busoni), le National Symphony Orchestra d’Irlande (Mozart), North Carolina (Prokofiev), le Sofia Philharmonic.

Elle est ré-invitée par l’orchestre d’Indianapolis, le Washington National Symphony, l’Ulster orchestra et l’Orchestra della Toscana (Dir : Daniele Rustioni). Elle participe à un projet spécial à l’Opéra de Dubai, donne un récital au Wigmore Hall de Londres avec le pianiste Alessio Bax et se produit en musique de chambre au Festival d’Ascona avec Francesco Piemontesi et Daniel Müller-Schott.

Sa carrière internationale l’a amenée à jouer sous la direction de chefs renommés tels Sir Roger Norrington, Fabio Luisi, Lionel Bringuier, Dalia Stasevska, Paul Goodwin, Christopher Hogwood, Yoel Levi, Grant Llewellyn, Diego Matheusz, Shlomo Mintz, Daniele Rustioni, Karen Durgaryan, Gemma New…

Chambriste confirmée, Francesca Dego a joué ou va jouer avec Salvatore Accardo, Alessandro Carbonare, Mahan Esfahani, Bruno Giuranna, Narek Hakhnazaryan, Piers Lane, Jan Lisiecki, Kathryn Stott, Mischa Maisky, Antonio Meneses, Alessandro Taverna, Martin Owen. Avec la pianiste Francesca Leonardi, elle s’est produite à Paris (Auditorium du Louvre) mais aussi au Lincoln Center de New York, Washington DC, Sienne et à Turin pour l’intégrale des sonates de Beethoven.

Elle est passionnée de musique contemporaine ; plusieurs compositeurs lui ont dédié des œuvres : Michael Nyman, Carlo Boccadoro, Cristian Carrara, Nicola Campogrande et Marco Taralli.

Par ailleurs, elle participe activement à des magazines spécialisés, écrivant notamment pour la BBC, The Strad et Strings Magazine. Son premier livre « Tra le Note. Classica : 24 Chiavi di lettura » a été publié aux éditions Mondadori. Elle y explore la façon dont la musique peut -de nos jours- être mieux écoutée et comprise.

Francesca Dego habite à Londres et joue un violon de Francesco Ruggeri (Cremona 1697).

www.francescadego.com

2023-02
Davide Cerati

Presse

Apart from her exceptional command of the instrument, the distinguishing feature of Francesca Dego's playing is her beguiling tendency towards temporal fantasy, especially at the lower end of the dynamic spectrum.

The Strad – February 2019

In the Adagio, the beauty of Dego’s playing soared through the hall floating above the restrained and balanced orchestral accompaniment. There was an instinctiveness between soloist and conductor that became evident here, an expressive use of rubato at key moments, careful and controlled but never overdone which provided a moment of reflection and a chance to breathe.

Backtrack.com – November 2018

Dego has all these qualities in abundance and is clearly well aware of the operatic vocal nature of the music… Dego is absolutely superb in both works, but particularly in the lengthy first movement of the Paganini.

The Whole Note, April 2018