Non seulement elle confère un relief admirable à un Bösendorfer plein de caractère mais, surtout, elle se montre en parfaite empathie avec les oeuvres, par son sens infaillible du discours et de la narration. Nul flou dans son jeu mais au contraire, une entière lisibilité des différents plans, préservée de tout excès analytique par un toucher d’un raffinement souverain.
Concerto.net, Janvier 2020